la génération Z dans les médias français cet été

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Eric Delcroix est spécialisé en conseil, contenu, communication digitale, formation, internet, réseaux et médias sociaux, picture marketing, Facebook, Pinterest, Linkedin, Twitter, génération Z

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Le Z de la génération Z pour signaler ce qui c'est dit sur eux cet été en français

Le Z de la génération Z pour signaler ce qui c’est dit sur eux cet été en français

Pour mettre à jour ce qui c’est dit au sujet de la génération Z pendant 2 mois maintenant, un tour d’horizon des médias francophones semble intéressant.

Je ne sais pas si c’était l’effet des vacances, mais j’ai trouvé plus de liens concernant la génération Z pendant les vacances. Cela à t-il un sens ? On peut se poser la question.

On ne sait pas de quoi parler… tiens, y’a la génération Z ! Parlons en, cela bouchera un trou 😉

Autre remarque, généralement, les articles dans les médias francophones ne parlent pas de la génération Z mais d’ados, d’enfants, d’adolescents… en général.

Les 10 plus importantes compétences à avoir en 2020

L’important dans l’article de Widoobiz : Les 10 plus importantes compétences à avoir en 2020 est avant tout l’infographie de Top Ten Online College.

est-ce que la génération Z possédera les 10 plus importantes compétences nécessaires pour travailler en 2020 ?

est-ce que la génération Z possédera les 10 plus importantes compétences nécessaires pour travailler en 2020 ?

La génération Z : Quel consommateur demain ?

C’est une question récurrente outre-atlantique : quels consommateurs seront les générations Z ? Dans CBNews, Olivier Houdé, professeur de psychologie à l’Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité et membre du nouvel Observatoire des médias et de l’éducation au CSA (houps, j’en ai fini avec les titres 😉 nous donne son point de vue dans l’article : La génération Z : Quel consommateur demain ?

Mince, la génération Z commence en 2000 ! Pas grave, voyons la suite…

Ils sont multitâches. Çà, on savait… Par contre, ce que l’on sait moins à mon sens : Des tests scientifiques montrent que l’usage des écrans améliore l’attention visuelle sélective et la prise de décision rapide (c’est « texto » le texte de l’article).

Pour clore l’article, un passage « un peu » scientifique 😉 où l’on apprend que c’est leur cortex préfrontal qu’il faudra satisfaire !

Pincez-moi si je me trompe, mais on ne parle pas de consommateurs du futur dans l’article ou alors j’ai mal lu 🙁

16-24 ans : portrait d’une génération

Courrier International dans Têtes à clics offre le portrait d’une génération : les 16-24 ans.

Tout commence par quelques repères principalement graphiques.

Les graphiques de courrier international pour parler de la génération Z

Les graphiques de Courrier international pour parler de la génération Z

 

Dommage, il ne reste que les abonnés qui peuvent consulter le reste des articles, hormis l’édito sans grand intérêt soit dit en passant !

Comment comprendre le succès de Snapchat auprès des adolescents ?

L’article de la Fédération Française des Télécoms semble issue de l’analyse de Joëlle Menrath à partir d’entretiens ethnographiques menés auprès de 20 adolescents (cela me parait très peu pour se faire une réelle idée, mais bon, c’est mieux que rien).

Je ne corrobore pas la première partie sur le départ de Facebook des jeunes exprimé de cette manière.

Mais venons en à Snapchat :

  • 50 à 80 Snapchats envoyés par jour est la fourchette moyenne
  • rapidité d’adoption et d’usages exceptionnelle
  • l’expression du rejet des exigences de l’image publique ou semi-publique portées par Facebook (pour ma part, je pense que les jeunes ont compris que c’était 2 outils différents avec des usages différents, car ils continuent de publier également dans Facebook via Instagram entre autres mais des images différentes)
  • la vigilance des adolescents concernant leur image en ligne était plus grande et plus subtile qu’on voulait bien le croire (voir danah boyd en 2011) 
  • préoccupation grandissante des jeunes autour de leur « réputation » présente et future, qui se manifestent par une gestion constante de l’image en ligne par des opérations concrètes – se détaguer, surveiller, supprimer, mais aussi parler de vive voix des effets produits
  • l’importance des «photos dossier»
  • Envoyer une image sur Snapchat est un geste qui, le plus souvent chez les adolescents, ne prétend pas faire sens, mais qui vise à faire entrer le destinataire dans un rapport à soi purement perceptif
  • On ne partage rien de particulier, sauf une intensité, éminemment volatile, et qui échappe au sens comme à la fixité

Je confirme la totalité des propos que je lis au travers des observations d’adolescents autour de mes filles 😉 Non, je ne donnerais pas le nombre 😉

Préparez-vous pour la génération Z

C’est dans le site l’actu net que l’on vous prévient (enfin, non, fidèles lecteurs, je vous ai suffisamment prévenu 😉 : Préparez-vous pour la génération Z.

Pas grand chose à lire… et l’infographie de marketo n’est même pas en ligne… (si vous ne la connaissez pas, elle est 🙂

Quelques chiffres en français, pour ceux qui ne pigeraient rien à l’anglais issus du graphique !

  • 33% des générations Z suivent des cours en ligne,
  • 20% lisent leurs livres scolaires sur des tablettes,
  • 32% travaillent en ligne avec leurs camarades de classe,
  • 52% utilisent YouTube et/ou des réseaux sociaux pour effectuer des recherches scolaires,
  • 60% veulent que leur travail ait de l’influence sur le monde,
  • 79% sont sensibles à l’impact de l’humanité sur la planète,
  • les “Z” préfèrent opérer avec 5 écrans simultanément (contre 2 pour les “Y”).

Réseaux sociaux : Les ados protègent mieux leur intimité que leurs parents

Toujours dans la ligné de SnapChat, cette fois c’est l’express au travers du sociologue Pierre Mercklé qui tente de répondre pour expliquer le succès des réseaux éphémères dans l’article, Réseaux sociaux : Les ados protègent mieux leur intimité que leurs parents.

J’aime la réponse du sociologue à la question : On observe quand même régulièrement, sur Facebook ou Twitter, des comportements irresponsables qui posent question… : «…ces plateformes n’ont pas créé ces pratiques. Les adolescents recherchaient la transgression avant elles. Seulement, les réseaux sociaux rendent ces comportements beaucoup plus visibles…»

Les réseaux sociaux « éphémères » comme Snapchat ou Whatsapp répondent à un besoin bien précis des adolescents: s’exprimer librement sans risquer d’être rattrapé plus tard parce qu’ils ont écrit.  Beaucoup d’ados se disent: « Je n’ai pas envie que ce que j’écris soit encore là dans 10 ans ».

Par contre, je ne suis pas un fervent défenseur de l’apprentissage du code à l’école ! Aussi, lorsque la question : Comment aider nos enfants à mieux appréhender les enjeux du numérique ? ma réponse aurait été tout autre… et d’ailleurs, je me pose la question si il n’y a pas confusion entre codage pur et dur et apprentissage du HTML… dans la réponse qui est donnée. Ce n’est pas la même chose pour moi !

Mais encore une fois, je ne vois pas beaucoup de rapport entre titre et contenu de l’article ! D’ailleurs, je ne vois pas trace de cette phase qui a dit être prononcé sinon dans le titre (même si c’est sous-entendu dans la première réponse) ! Dommage, pour une fois que l’on pouvait « valoriser » l’utilisation des médias sociaux par la génération Z !

Génération Z : Une génération d’entrepreneurs qui pourrait révolutionner le commerce traditionnel !

Airofmelty parle parfois de la génération Z (normal pour un site qui se déclare : l’univers business des jeunes en un coup d’oeil). Céline Pastezeur tente un décryptage des propos de  Jamie Gutfreund, directrice marketing au sein de l’agence Noise, spécialisée dans les jeunes consommateurs : la génération Z représenterait une génération d’entrepreneurs exceptionnelle qui risque fort de révolutionner le commerce traditionnel (j’avais mentionné cette intervention de Jamie Gutfreund dans une précédente revue de presse).

Donc pas de surprise sur la tendance du « Me-Tailers » chez les plus jeunes, qui créent et vendent leurs propres produits qui est présenté dans l’article !

Best Of : Les réunions Génération Z

Je dois d’être honnête, je ne savais pas à quoi m’attendre à la lecture de ce billet de
MyMeetings que je ne connaissais pas avant cette lecture ! En plus, le titre Best Of : Les réunions Génération Z ne m’avance pas beaucoup !

Ce qui frappe c’est plutôt celle des innovations technologiques, de la miniaturisation et des usages au quotidien de plus en plus impactés par ces technos.

On retrouve l’aspect de la génération Z qui reprend certaines caractéristiques de la génération Y de manière amplifiée : connexion systématique aux réseaux sociaux, rejet des formes classiques d’autorité, tendance au questionnement permanent… mais la génération Z semble aimer jouer avec les contradictions :

  • lucides mais aussi idéalistes,
  • accrochés à cette chère liberté tout en aspirant à la réassurance,
  • plus sensibles à la solidarité mais regardants sur leur copinage,
  • à l’aise avec les contacts virtuels et plutôt hermétiques au contact direct,…

J’aurais inclus dans ces points :

  • individualiste mais adepte du collectif pour la défense de leurs causes

Ils sont aussi surinformés et « profondément imprégnés des logiques héritées des réseaux sociaux où tout se discute et se négocie » et abreuvés de culture web basée sur une logique égalitaire et très horizontale qu’ils tentent de mettre dans leur vie IRL.

J’apprécie la phrase de Benjamin Chaminade pour qui ils chercheront à remplacer subordination et autorité verticale par une « relation personnelle et non hiérarchique » et feront de leur poste non pas un cadre rigide mais « une playlist dans laquelle piocher les meilleurs morceaux ».

Une référence à l’article de Laurent Bibart, dans le Nouvel Economiste que j’avais mentionné aux débuts de ce blog ponctue l’article.

La fin de l’article est un peu trop raccoleuse à mon goût, mais bon, il faut bien que chacun vive 😉

La génération Z marque-t-elle la fin d’une époque ?

La question de savoir si la génération Z marque la fin d’une époque est posée par le site de recrutement h3o.

La question n’est pas dénuée de bon sens. On peut en effet se la poser tant la rupture semble importante. Mais faisons place à ce qui est écrit dans cet article.

Pour le dirigeant de H3O, Grégoire Buffet, il n’est possible de manager les adolescents actuels de la génération Z qu’en comprenant leurs caractéristiques. C’est ce que je tente de partager régulièrement dans ce blog 😉

La génération Z a des traits à la fois proches et diamétralement opposés à celle des Y. Ils sont nés dans l’incertitude, les outils de zapping, l’instantané. Pour eux, le court terme est une donnée de base mais parviennent à conjuguer : le long terme et le court terme. Autre paradoxe : individualiste mais maîtresse de son avenir. Extrêmement sociable, elle donne avant de recevoir.

Habituée aux échanges rapides, aux liens multiples, elle est également sensible à son image, un trait notamment accentué par la difficulté d’intégrer le marché de l’emploi ou la fragilité de la situation en entreprise.
 
Les Z peuvent parfois ne pas savoir différencier leur vie professionnelle de leur vie personnelle ce qu’ils devraient corriger avec leur arrivée en entreprise.

Cette génération est aussi celle où les valeurs associées à la diversité ont un réel sens : ouverture au monde via les réseaux sociaux, la mobilité internationale accroissent cette exigence d’ouverture.

La génération Z prend le pouvoir

Le titre est un peu en avance sur son temps me semble t-il ! La génération Z n’a pas encore pris le pouvoir 😉 Je laisse à Sophie Hantraye le choix de son article : la génération Z prend le pouvoir.

Regardons les raisons et pourquoi cette génération Z serait aux commandes aujourd’hui.

L’exemple de Tavi Gevinson qui serait l’exemple de l’autonomie débute l’article. Avant tout, c’est une blogueuse qui a réussi (elle est aujourd’hui l’une des leaders du monde de la mode).

Ce n’est pas pour moi ce qui en fait pour autant la chef de file de la génération Z surtout en France ! Cependant, son expérience (elle a débuté son blog de mode à 11 ans) correspond à l’esprit de la génération Z. D’ailleurs, y a t-il réellement des leaders dans la génération Z ?

Second critère mis en avant : l’ambition. Valentin Reverdi, 16 ans, créateur de newsyoung est mis en avant.

Dans le dernier critère : responsable, j’aurais plutôt choisi un autre mot que l’on trouve dans le paragraphe : confiance. En effet, les jeunes de la génération Z sont confiants avant tout, même si en effet ils sont responsables. 

Pour moi, je confirme, ce ne sont pas les termes : autonomie, ambition et responsabilité qui font que la génération Z prendra le pouvoir. On peut dire que ces qualités s’appliquent plus ou moins à la plupart des générations… Je ne pense pas que ce soit là le cocktail de qualités qui leur permettra d’atteindre cette position. Il y en a beaucoup d’autres à mon sens et c’est surtout l’amalgame en une seule personne de cet ensemble qui le permettra !

Par contre, je ne comprends pas la fin de l’article. Les 2 dernières phrases. Je n’ai pas l’impression que la génération Z soit plus porté sur le Bike Porn qu’une autre (cela existe depuis au moins 7 ans et c’est la génération Y qui est plutôt concerné !). Par contre, oui, je réagis au FireChallenge en émettant certaines réserves. Je pense que l’on peut trouver le genre d’article cité pour A l’eau ou un restau (qui a été décrié en France) alors que la presse dans son ensemble donne l’impression de soutenir l’Ice Bucket Challenge. Un jour, il faudra que l’on m’explique les effets magiques des bonnes causes.

Non, tous les digital natives ne sont pas des experts des réseaux sociaux

Quand je lis ce genre de titre, je m’attends au pire… Et, ma première réflexion avant de débuter ma lecture du site manpowergroup a été de me dire : est encore heureux ! Par contre, leur très grande majorité sont désormais des utilisateurs très avertis !

Je me répéte… mais dans la presse étrangère, il est très rare que je ne trouve ce genre de titre. Cela doit être une exception francophone 😉

J’ai mon début d’explication. Dès les premières lignes on parle de pseudo génération Y ! (je reviens ajouter une note de lecture : en effet, pourquoi pas, mais il serait d’expliquer les raisons).

Pas de chance pour moi, c’est Ryan Holmes, PDG de HootSuite (Beyond the selfie: There are some social media skills Millennials don’t have – ouf, il ne parle pas de la génération Z mais des Y 😉 qui est repris.

Et curieusement, je suis d’accord avec ce qu’il dit : être présent sur ces réseaux à titre personnel ne vous rend pas forcément plus apte à les utiliser dans un cadre professionnel et évidemment fort de mon passé à la tête d’un Master orienté communication on line lorsque je le dirigeais (j’ai vu ce qu’est devenu la formation à mon départ de sa direction… ) et de mes actions d' »aides » aux recrutements de spécialistes notamment de community manager, je ne peux qu’acquiescer, William Ward qui dit : «La faute reviendrait plutôt à des recrutements mal maîtrisés et plus fondamentalement… aux formations peu développées dans le domaine».

Au final, l’inter titre : Ne recrutez pas de community managers ! me convient plutôt bien. J’aurais d’autres raisons à ajouter, mais je pense que je n’ai pas la place ici pour m’épancher 😉 D’ailleurs, j’aurais préféré de loin ce titre à l’article que celui qui a été choisi !

Éduquer la génération Z

Je suis désormais toujours un peu surpris que l’on parle d’innovation dans l’enseignement. C’était vrai il y a quelques années… : les blogs, Facebook, Twitter, les médias sociaux… oui, il y avait de l’innovation. Mais déjà avec l’arrivée de la classe inversée cela me paraissait être du réchauffé de ce qui se déroulait en formation professionnelle (désolé, j’ai toujours considéré l’éducation dans le sens global du terme : école, université, formation continue aussi bien en présentiel qu’à distance). Les Mooc sont avant tout pour moi des stratégies marketing (rien à avoir avec l’éducation) un peu comme les défuns projets d’ENT du début des années 2000 dans les universités.

Par acquit de conscience, je regarde la définition d’innovation… Je confirme mes propos… il n’y a pas choses nouvelles introduites dans l’éducation actuellement sinon du réchauffé. Rien à mes yeux ne constitue une nouveauté ! Nous absorbons les innovations passées. Seule l’arrivée des imprimantes 3 D dans certains secteurs modifie la donne. 

J’avais envie de le dire en introduction…

Aussi, je suis donc surpris de voir l’article éduquer la génération Z publié sur le site de la fondation pour l’innovation du Canada.

Que dit cet article… Ce n’est pas pour autant qu’il ne sera pas intéressant 😉

Les jeunes de la génération Z n’ont jamais cru qu’ils étaient fondamentalement spéciaux ni qu’un diplôme universitaire serait garant de leur réussite.

Le défi des éducateurs consiste donc à trouver le moyen d’adapter leur salle de classe à ce nouveau type d’étudiants.

Et il n’y a pas que les étudiants qui changent. Les compétences dont ils auront besoin pour réussir évoluent aussi.

D’ici à ce que les étudiants de la génération Z intègrent le marché du travail, les connaissances compteront moins que les renseignements qu’ils seront capables de trouver et l’usage qu’ils en feront.

De plus, la génération Z se prépare à affronter un marché du travail mal défini qui sera dominé par des emplois qui n’existent pas encore.

Il s’agit d’une période propice à l’innovation dans le secteur de l’éducation. (c’est ici que nos point de vue divergent. Pour moi, ce n’est pas d’innovation qu’il s’agit mais d’adaptation… les précurseurs innovant sont passé par là depuis longtemps).

Alors que certains affirment que le fonctionnement des salles de classe n’évolue pas assez rapidement (j’en fait parti, mais vous le savez certainement), les besoins uniques de la génération Z sont sur le point d’imposer ce changement (çà, j’en suis beaucoup moins certain).

Tout doit être revu, y compris les modèles d’enseignement, la disposition des bureaux, les documents didactiques et les barèmes de correction. Encore une fois, j’applaudis.

Des exemples de « nouveaux » concepts et de réorganisation des salles de classe sont également disponibles.

Comme quoi, j’ai bien fait de lire cet article… mis à part un mot qui pour moi est détourné, le principal est dit 🙂

31% des 6-9 ans déclarent devoir expliquer leurs devoirs à leurs parents

Influencia se fait l’écho de l’enquête l’étude IDM pour LeapFrog France très intéressante. C’est à mettre en parallèle avec les paragraphes précédents (l’école devrait innover dans ce domaine 🙂

Un constat : plus votre progéniture est âgée plus l’accompagnement scolaire est pénible et anxiogène (c’est là que l’on découvre que selon l’institut des mamans 31% des 6-9 ans déclarent devoir expliquer leurs devoirs à leurs parents?

Je copie : 20% des parents ne s’estiment pas toujours compétents pour accompagner leur progéniture dans leurs devoirs. Conséquence, ils sont 21% à expédier ce moment, le jugeant « rapide » et craignant « des cris, du stress et pas de plaisir ». En cause ? Des devoirs pas assez funs ni didactiques pour près de 47% des parents de 6-9 ans. L’ensemble des parents interrogés pour les 3-9 ans sont même 7% à juger que le temps des devoirs est source de tensions et d’énervement, soit près d’un sur dix !

95 % des enfants de 3-9 ans déclarent d’ailleurs aimer apprendre en s’amusant, et près de 82% souhaitent des outils plus ludiques et interactifs comme des livres qui parlent, posent des questions.

On les comprends… études et devoirs ne sont pas synonymes obligatoirement de souffrance ! 

Infantilisation des adultes, puerilisation des enfants

Je ne me risquerai pas à vouloir résumer les propos de cet entretien avec le philisophe : Bernard Stielgler sur le blog de Franck Trommenschlager

La lecture dans son originalité s’impose 🙂 Voici le lien.

Demain, soit je vous parle des SlideShare de l’été, soit de quelques personnalités du monde de la génération Z selon le temps disponible 😉


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