génération Z : la revue de presse francophone du 23 fév.

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Eric Delcroix est spécialisé en conseil, contenu, communication digitale, formation, internet, réseaux et médias sociaux, picture marketing, Facebook, Pinterest, Linkedin, Twitter, génération Z

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Oui, la revue de presse francophone sur la génération Z continue à être disponible en ligne à la différence de la revue de presse internationale qui devient une lettre d’informations à partir du mois de mars (voir génération Z : la revue de presse internationale devient une newsletter).

Bon, allons y… que c’est dit-il en français dans les médias sur les jeunes de la génération Z ? avec une remarque préalable…

J’avais peur, et c’était l’une des raisons de la création de ce blog, de voir écrire de tout et de n’importe quoi pour surfer sur la vague de la génération Z ! Je me pose la question de savoir si nous ne sommes pas à ce tournant en France. J’espère jusque que ce n’est pas le cas !

Aux Etats-Unis, les parents espionnent leur enfant avec les nouvelles technologies

La revue de presse en français n’exclue pas de parler d’autres pays… la condition est que les médias francophones en parlent comme ici l’AFP dans Web manager center Tunisie.

On l’imagine assez facilement, il est assez facile de pister les enfants et les adolescents, notamment grâce au téléphone portable.

Mais, cela dépasse souvent l’imagination de la simple géolocalisation, il existe des solutions pour tout ou presque : surveiller un excès de vitesse en voiture, l’envoient des SMS à l’heure où ils devraient dormir, pour surveiller l’humeur de bébé ou l’heure d’arrêt de la lumière pour les plus grands, la sortie d’un périmètre « de survie » autour de la maison, etc. !

Personnellement, tous ces systèmes de surveillance me dérangent… Je n’ai jamais éduqué mes enfants dans ce mensonge, souvent fait pour rassurer avant tout les parents

Pire, pour moi, les applications installées à l’insu des utilisateurs sur les tablettes et les téléphones qui permettent d’accéder aux photos prises, aux messages tapés, à l’historique des recherches sur internet, etc. à moins de préparer nos enfants et nos jeunes à un monde « sous contrôle ».

« On a même entendu parler de parents qui placent des puces sur eux« , a déploré Robert Lowery du Centre national américain pour les enfants disparus ou maltraités (NCME). « Ce genre de comportement est choquant. Nous ne prônons pas cela » est-il indiqué dans l’article.

Je reste un fervent défenseur de la communication entre parents et enfants (je le répète assez lors des conférences débats Enfants, Parents, internet. Ce que semble confirmer le professeur Hinduja 😉

Oui, je suis comme Robert Lowery du NCME qui suggère aux parents d’inculquer à leurs enfants du bon sens et de leur apprendre à faire face aux situations dangereuses ou comme cet ancien policier qui préfère promouvoir des solutions utilisant des médias sociaux avec l’envoi d’alertes ciblées en cas de disparition !

États-Unis : génération Z, génération fun

E-marketing.fr présente des expériences riches en sensations proposées à la génération Z aux États-Unis dans dans un diaporama de 7 images, mais en réalité 5 exemples 😉

Les exemples de Chipotle, chaîne de mexican food ; Red Bull ; REI (chaîne d’articles de sport) ; Forever 21 ; Taco Bell, célèbre chaîne de fast-food mexicain (voir aussi ici),

Évidemment, ce sont des exemples à suivre 😉

C’est quoi exactement un jeune ?

Je fais exception avec l’article d’Influencia : c’est quoi exactement un jeune ? «Ce mystère sociétal toujours étudié, souvent critiqué mais jamais réellement compris…». L’article qui tente de dresser un portrait de ce que pense le jeune « moyen » en France (assez bien d’ailleurs) reprend pour une partie l’étude de la BNP !

La génération Z a intégré le digital au coeur de son quotidien. Le numérique n’est pas une révolution pour eux.

C’est la génération frustrée : Selon l’étude « Génération Quoi », sorte de gigantesque enquête réalisée par Le Monde-Europe1-France Télévisions, ils sont 70 % à estimer que la société actuelle ne leur permet pas d’exprimer pleinement leurs potentiels. Attention toutefois, les jeunes concernés avaient jusque 34 ans et commence à dater. Les campagnes #PASQUE et #CESTCOMME servent d’illustration.

Ce que les jeunes veulent, c’est parler, dialoguer, au même niveau qu’une marque, ou qu’un supérieur hiérarchique.

Ils veulent agir pour changer la société, mais agir à leur manière, et non pas en s’insérant dans les mécanismes des générations précédentes. Cette génération veut donner son avis, combattre la frustration pour qu’on l’entende.

La politique, ils aiment ça et s’y intéressent ! En 2014, l’étude de la BNP révélait que 55% des jeunes estiment que la politique est importante. Ils sont même 49% à dire être intéressés par la politique mais s’abstiennent car ils ne trouvent pas l’offre politique (j’ajoute ou des parties avec les valeurs qu’ils attendent d’eux).

Enseigner aux « digital natives »

Lorsque Serge Tisseron prend la parole, j’écoute ou je lis. C’est le cas dans cet article sur le site de l’Académie de Paris où le psychiatre et psychanalyste que j’avais croisé à Ludovia prends la parole pour expliquer que l’’enseignement doit prendre en compte l’évolution, non pas tant en s’équipant d’un matériel appelé à une obsolescence rapide qu’en proposant de nouvelles modalités d’apprentissage.

Apprivoiser les écrans et grandir avec Serge Tisseron

Apprivoiser les écrans et grandir avec Serge Tisseron

Si je résume son intro : Aujourd’hui, un grand nombre d’enseignants se plaignent du divorce grandissant entre les élèves et eux mais les mais les élèves apprennent de moins en moins bien soit disant à cause des technologies numériques et des écrans. Il faut donc réfléchir à de nouvelles occasions de travailler et d’apprendre ensemble. Il ne s’agit pas d’adapter l’école au numérique mais de l’adapter au changement d’état d’esprit des élèves et des jeunes enseignants (juste au passage, une remarque, on fait quoi des vieux enseignants ?)

Pour Serge Tisseron, la révolution pédagogique doit associer quatre dimensions :

  • l’information des plus jeunes, dès l’école primaire,
  • compréhension des bouleversements culturels que ces technologies engendrent dans la relation aux savoirs, aux apprentissages, à l’autorité et aux pairs
  • connaître les spécificités des outils numériques afin de ne pas leur demander plus qu’ils ne peuvent apporter,
  • proposer de nouvelles façons d’apprendre ensemble, en veillant à développer chez les élèves le sens narratif (notez un passage sur la pédagogie inversée entre autre)

L’article est beaucoup plus riche… mais j’espère vous avoir donné envie d’aller le lire 🙂

La jeunesse d’aujourd’hui est une «génération perdue» qui ne sait rien bricoler

J’avais zappé cet article de Slate en toute fin d’année dernière… : La jeunesse d’aujourd’hui est une «génération perdue» qui ne sait rien bricoler.

Dès le début de l’article, on est prevenu… on ne parle pas ici de bricolage, mais de connaissance de ce qui se trame sous le capot des portables, ordinateurs, tablettes et compagnie. Une reprise de l’information Young people are ‘lost generation’ who can no longer fix gadgets, warns professor du journal Anglais The Telegraph.

C’est Danielle George, professeur dans le domaine de l’électronique à l’université de Manchester qui a lancé le débat tout en reconnaissant les efforts de la communauté de «makers», qui commence aussi à faire parler d’elle en France (le «do it yourself» ou «DIY» est inclu).

Le but « caché » pour moi est de faire apprendre le code même si cela n’est pas cité dans les articles en question… Je suis loin d’avoir un avis tranché sur le sujet…

Maintenant… mon expérience de père de génération Z concernant les Z et le bricolage en général… L’une des filles, manuelle, est accroc aux DIY (cuisine, tricot, code HTML, instrument de musique, réchaud avec une canette de soda… ). Elle est active y compris sur DIY.org ! L’autre fille recherche également des DIY en cuisine elle aussi, mais la cuisine de mémé Moniq n’est pas pour rien dans l’histoire, mais aussi dans le domaine de la beauté, des vêtements… moins technique à coup sûr…
Autour de nous, c’est un peu la même chose avec les générations Z que nous connaissons.

La question que j’aurai tendance à me poser en premier est : dans les générations précédentes était-on aussi tous bricoleurs?  Je ne crois pas. Vous savez démonter le moteur de votre voiture ? Vous savez installer une prise électrique ou la changer ? J’ai des amis qui ne savent pas installer un lave-linge ou un sèche-linge…

Seconde question… Est-ce que la génération Z est plus bricoleuse que nous ? Resterai à définir le sens de bricolage (qui ne se résume pas au terme original puisque cela inclue désormais des activités de loisirs ou traditionnelle qui reviennent en force : cuisine, tricot… ) J’aurai tendance à le croire… À la vu de leur fonctionnement en autodidacte ! Ils veulent faire quelque chose, ils cherchent sur la toile, ils le font !

Dernière question… Apprennent-ils à programmer ou à réparer leurs outils de travail ? La réponse est clairement non… Programmer, ils n’en voient pas l’intérêt, comprendre la machine non plus… Réparer… ils ont toujours connu ou presque l’obsolescence programmé… alors pourquoi vouloir réparer ?

Les usages des enfants sur tablettes : résultats de l’enquête Souris Grise

L’étude « Les usages des enfants sur tablettes » est une enquête auprès de 800 familles équipées au minimum d’une tablette à la maison au 1er semestre 2014 avec une majorité de mère (70 %) issues semble t-il des lecteurs du magazine La souris grise.

Je rédige ces 2 paragraphes après avoir rédigé ce billet. Je n’avais pas idée des résultats et de ce que j’allais trouver en regardant cette enquête. Après l’avoir disséqué, ce n’est pas les usages des enfants sur tablettes qu’elle devrait s’appeler mais l’image que les parents ont de l’usage de leurs enfants sur les tablettes ! La nuance est d’importance ! Cela me rappelle la journaliste qui était venu me voir, plein d’illusion sur l’utilisation des jeunes lorsque c’était le plein boum des blogs et des Skyblogs. La réalité était toute autre !

Désolé si certaines de mes réactions semblent virulentes, mais, j’écris en fonction de mon point de vue…

Notez dès à présent que l’article de présentation de cette étude sur le site de la Souris Grise propose le téléchargement « gratuit » des résultats… à vous de juger de la valeur de l’étude. Réellement gratuit, 5, 10, 50, 100 ou 150 €, à vous de décider. C’est pour cela que je ne vous donne pas le lien direct vers l’étude !

Presque 21% des enfants des foyers sont équipés d’une tablette personnelle, généralement Android – contrairement aux parents qui sont bien plus Apple. Ce pourcentage grandit avec l’âge de l’enfant. En corollaire, 79 % sont des tablettes « familiale » (ici aussi, on a une tablette familiale, mais une seule personne l’utilise : l’une des filles 😉 Je note également dans ce résultat les 8,8% des moins de trois ans qui possèdent leur propre tablette ! Énorme le pourcentage, non ?

Pourcentage d’enfants équipés de leur propre tablette

Pourcentage d’enfants équipés de leur propre tablette

Le jeu reste l’activité principale. Pour la suite des résultats, j’ai toujours tendance à me méfier…

L’éveil, l’éducation et l’aide aux devoirs qui le talonnent de près, c’est la vision des parents… pas dit que ce soit celle des enfants . Plus de 69% des familles indiquent que cela fait partie des activités les plus pratiquées par leurs enfants. Pour moi, ces 69 % de réponses correspondent à l’espoir que mettent les parents dans ces tablettes, non à l’usage réel ! Cela me rappelle toujours l’achat des cahiers de vacances 😉

activité des enfants sur tablettes

activité des enfants sur tablettes – Les parents pouvaient donner 3 réponses

Pour les moins de 3 ans, les objectifs d’éveil sont principalement au centre de l’utilisation de la tablette selon 77,5% des parents.

Autres données avec lesquelles j’ai beaucoup de mal en général (au vu des études comparatives qui ont pu être réalisé entre enfants et parents), le temps d’utilisation des tablettes annoncé ! Le chiffre d’1 h d ‘utilisation des tablettes par semaine pour les 8-12 ans me fais sourire par exemple.

temps d'utilisation des tablettes par les enfants

temps d’utilisation des tablettes par les enfants

Le tableau suivant de l’étude : En solo ou avec un parent m’amuse tout autant… Déjà, cela veut dire quoi avec un parent ? un parent dans la même pièce, un parent à côté de l’enfant ? Ici, il semble que ce soit avec un parent ! Mais pour moi, la colonne les 2 n’a pas beaucoup de signification ! Cela veut dire quoi… quelle est la proportion d’utilisation seule de l’enfant et celle avec un parent dans les 2 ?

J’ai surtout l’impression dans ces réponses que les parents se donnent bonne figure… Si j’observe autour de moi… les résultats sont complètement différents mais j’admets qu’il y a des exceptions.

les activités les moins pratiqués par les enfants sur tablette

les activités les moins pratiqués par les enfants sur tablette

Encore une fois, la consultation du graphique : Les activités les moins pratiquées sur tablettes me fait sourire ! 81,3 % des parents indiquent que l’utilisation des réseaux sociaux ne sont jamais pratiquées par les enfants sur la tablette familiale. L’effet de surprise passé… j’ai compris (j’ai des cas autour de moi, cela aide). Évidemment, les 8-13 ans font cela sur leur smartphone 😉 Donc, en réalité, rien de surprenant… en plus, pas folle la guêpe, ils ne vont pas faire cela sur une tablette familiale 😉

à combien d'écran les enfats accèdent t-ils ?

à combien d’écran les enfats accèdent t-ils ?

Rire, je vous envoie une anecdote au sujet des parents convaincu de connaître les habitudes d’utilisation de leurs enfants sur les outils mobiles… Une maman passe un jour à la maison. Elle a une fille de l’âge des miennes. Comme souvent les discussions arrivent sur les jeunes et internet, les réseaux sociaux précisément… La maman, sûre d’elle m’affirme : oh, ma fille ne va pas beaucoup sur Facebook, je la vois rarement y aller sur l’ordinateur… Et de demander la confirmation à sa fille… qui gêné répond un petit « oui »… L’explication m’a été donné par mes filles qui sont amis avec elle dans les réseaux… Elle utilise régulièrement son portable… donc la mère ne le voit pas ! Et, pour clore cette anecdote, il y a quelque temps, nous recevons la mère à la maison… On averti notre « allemande » de fille qui m’envoie aussitôt un message moqueur : vous pouvez lui dire que sa fille fait des snaps très tardifs… 😉 J’ajoute, on est presque certain que la mère n’en sait rien !

La lecture fait partie des activités les moins pratiquées sur tablettes selon les parents, cependant on se rend compte qu’elles existent néanmoins, en particulier pour les 6/8 ans pour lesquels les parents disent qu’ils lisent des histoires en famille sur la tablette ! Idem pour la question votre enfant utilise-t-il la tablette pour lire tout seul ?

Vous avez remarqué l’âge ? celui de l’apprentissage de la lecture… Mon analyse est un peu différente du simple constat qui est fait dans l’étude… Je pense que les plus grands lisent sur leur tablette… mais d’expérience, je sais qu’il est difficile de savoir ce qu’ils font sur leur outil ! Pour mémoire, j’avais sermonné la plus grande de mes filles quand elle préparait sont brevet pensant qu’elle jouait alors qu’elle révisait ! Les parents aussi doivent être éduqué à ce que font leurs enfants sur ces outils ! Et, toujours la concernant, elle qui est dyslexique, qui n’ouvrait jamais un livre ni une revue lisait « en cachette » sur sa tablette ! C’était plus simple pour elle de lire sur cet outil ! Sa soeur ne s’est jamais caché pour le faire !

D’ailleurs, l’écoute d’histoires sur tablettes est pratiquée par plus de 50% des familles de 3 ans et 8 ans… Une autre forme de « lecture » !

La partie sur l’achats et le budget des parents est également intéressante. Les parents achètent moins de 3 fois par an des applications (le zéro fois est inclu) à près de 87% c’est à dire quasiment tous, pour moins de 5 € par mois (là encore, le gratuit est inclu)

fréquence d'achat des applications pour les tablettes des enfants

Rien de surprenant… Les parents recherchent d’abord des applications éducatives, pédagogiques, du niveau de classe de leur enfant.La situation est assez bien résumé en disant : des jeux éducatifs gratuits de qualité !  Cela rejoint ce que je disais tout à l’heure sur l’utilisation des tablettes… vu par les parents. C’est leur souhait… pas obligatoirement celui des enfants 😉 Si je résume autrement, les parents attendent que l’éducation nationale mette à disposition les jeux éducatifs complémentaires aux années de l’école… gratuitement, comme l’est l’école !

L’enquête les professionnels de l’enfance et de la culture : enseignants, animateurs, bibliothécaires et orthophonistes montrent le besoin de professionnalisation et d’accompagnement des professionnels au numérique… mais cela pour ma part, je l’ai remarqué depuis longtemps ! Ils peuvent faire appel à moi 😉

Ce que veut la Génération Z (et comment elle achète)

Il est dit dans l’article de LSA : Ce que veut la Génération Z (et comment elle achète) que la génération Z intéresse désormais les professionnels de la consommation ! Ah bon… ils ne se sont pas préparés à leur arrivée ?

LSA propose dans son article de vous livrer les clés pour la séduire et répondre à ses attentes en vous disant qui elle est, ce qu’elle achète, comment elle consomme…

Je vais dévorer l’article… il va me résumer un an de veille dans le domaine 😉 Mais, vu les attentes… je prends ma super plume anti-langue de bois (c’est la semaine 🙂 ! Qui aime bien, châtie bien 😉

Natif du numérique… je passe.

Selon Fitch (non pas l’agence de notation financière internationale mais l’agence spécialisé dans le retail) en novembre 2013, les 14-19 ans d’aujourd’hui constitueront, en 2020, le plus grand groupe de consommateurs du monde entier, et les anciennes règles de la vente au détail ne s’appliquent plus à cette génération. Oui, vous lecteurs assidus l’avez bien compris depuis longtemps !

En poursuivant ma lecture, je me demande si ce n’est pas une simple interview de Nathalie Damery, présidente de l’ObSoCo (Observatoire Société et Consommation) !

La Génération Z : communauté plus ouverte que la génération de ses parents avec une culture diversifiée, des structures familiales plus variées, et un accès continu à l’information, moins hermétique au changement, plus téméraire. Le smartphone est majoritairement considéré comme un prolongement de soi-même… J’ai l’impression que l’on enfonce des portes ouvertes !

Pragmatique, mais aussi indépendante… je n’arrête pas de lire cette formule 😉

Car si son pouvoir d’achat est faible (elle est encore étudiante et ses achats sont financés par les parents), elle se montre influente grâce à sa maîtrise de la viralité et des réseaux sociaux… Rire… j’ai l’impression de lire une phrase d’un article US mal traduit dans sa partie finale ! Et pas influente au sein de la famille par exemple ?

La communauté occupe désormais une place essentielle à l’heure où les frontières de la vie intime sont de plus en plus floues. De quelle communauté parle t-on  ? une seule communauté, j’ai l’impression qu’ils y en a une multitude autour d’eux ! Et le petit couplet sur la perte de la vie privée…

La phrase in-extenso «Si les contours de cette génération Z sont désormais bien dessinés par les professionnels… » me fait sursauter. Ah bon, les professionnels connaissent la génération Z ! (euh, les professionnels qui me contactez, arrêtez de le faire… il parait que vous connaissez la génération Z. Les journalistes pareils… stop… vous connaissez la génération Z, pas besoin que je vous explique qui elle est, ce qu’elle achète, comment elle consomme. Enfin, au cas où, par exemple ;-),

Je reprends mes esprits… la phase est complétée par : «il faut savoir l’attirer… et la garder». Ça c’est bien vrai !

Fitch avait identifié 5 moments-clés dans le parcours-client, et les réponses à proposer. LSA a cru bon de reproduire en 5 slides ce parcours client que je ne cautionne absolument pas ! Il est à mon sens bourré d’erreurs (enfin, non pour être plus juste, il y a beaucoup d’erreurs d’interprétation et cela me fait penser que l’auteur de ces écrans ne connaît pas la génération Z !)

On le dit tous : le jeune doit vivre une nouvelle véritable expérience lors de l’achat (et j’ajoute unique… oui, ils sont, paradoxe, très nombriliste ;-). Pour ma part, lorsque j’observe les réaction de la génération Z autour de moi, je ne suis pas certain que les exemples de Leroy Merlin, Décathlon ou Nestlé soit les meilleurs à proposer… La réalité est toute autre… Je pense que ces entreprises sont même loin de la génération Z !

Vous l’avez compris… je suis déçu ! Je n’ai pas trouvé les réponses que j’attendais… Au contraire… je pense que l’on risque de prendre de mauvaises décisions à la lecture de cet article ! Quid des galeries marchandes par exemple ? Quid du marché ouvert à l’international ? Quid du web to store ?

Le retail avec la génération Z n’est pas si simple… mais je dois me tromper puisque les contours de cette génération Z sont désormais bien dessinés par les professionnels, il reste à définir ce qui se trouve à l’intérieur des contours !

Comment choisir entre un PPS, un PAP, un PPRE, ou un PAI ?

Les dyslexiques ou parents de dyslexiques l’auront compris, c’est un article pour eux. L’anape DYS a mis en ligne un tableau pour aider à choisir entre un PPS, un PAP, un PPRE, ou un PAI bien utile pour ceux qui se perdent dans les méandres des plans du ministère…

Voilà de quoi vous retrouver et savoir à quoi correspondent :

  • PPS (Projet Personnalisé de Scolarisation) – MDPH (c’est celui de notre fille)
  • PAP (Projet d’Accompagnement Personnalisé) mis en place par l’établissement
  • PPRE (Programme Personnalisé  de Réussite Éducative) – Dispositif purement pédagogique
  • PAI (Projet d’Accueil Individualisé) – Dispositif interne à l’établissement

En bref

Comment la génération Z se projette dans l’entreprise une nième reprise de l’enquête de la BNP. Je m’étais dit comme c’est sur l’écho touristique, y’aura peut-être une analyse particulière… Nada… juste la chute de l’article : Les entreprises du tourisme ont, là, une carte à jouer… Comme les autres entreprise ais-je envie d’ajouter ! Pourtant, il y a matière à parler d’eux et du tourisme… croyez moi !

Génération Z : l’univers digital uni 2 milliards de jeunes J’ai hésité… j’ai mis le lien, je l’ai retiré… L’article de Thierry Jeremie, « expert en technologies » me laisse pantois. Visiblement, fortement inspiré d’un des articles de l’AFP (voir la revue de presse sur la génération Z de la semaine dernière), il y a des perles à lire. La meilleure selon moi : «cette génération Z âgée de 13 à 20 ans»… Désormais une génération fait 8 ans 😉 Et j’adore ce genre de phrase à l’emporte pièce : «Pour la génération Z, bavarder sur le web par exemple est plus simple qu’en vrai». C’est évident mon bon monsieur 😉 Et si c’était simplement faux ?

Paris tech review publie une série d’articles sur l’éducation, ce qui concerne évidemment la génération Z. Seulement, après l’article 1, le 2 puis le 3 je ne sais pas quand s’arrêtera la série et si elle s’arrêtera… Donc, en attendant, je mets le lien en bref !


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