Encore une semaine bien calme du côté francophone… concernant les jeunes de la génération Z… ce qui n’est pas le cas dans la langue de Shakespeare, mais j’ai mis en stand-bye la newsletter… si elle vous intéresse contactez moi !
Heureusement pour moi, j’ai des enfants génération Z 😉 et ils repèrent également des informations qui peuvent nous intéresser 😉 Merci les filles 😉
En effet, à un moment dans la semaine j’ai pensé que la revue de presse allait se résumer aux 2 articles que j’ai publié la semaine passée et notamment Niouf-niouf, un projet par et pour la génération Z 😉
Mais non, finalement, j’ai quelques liens en supplément de ceux de mes filles 😉
Quelques chiffres sur les pratiques médiatiques et numériques des jeunes
Une présentation de Dorie Bruyas sur les pratiques numériques, médiatiques et audiovisuelles des jeunes à l’occasion du séminaire académique des professeurs documentalistes.
Nos jeunes sont bien dans leurs baskets
C’est du côté de la Belgique qu’il faut se rendre pour lire un tel titre : Nos jeunes sont bien dans leurs baskets ! En effet, c’est le titre d’un article de laLibre.be qui reprend une enquête européenne de Coca-Cola auprès de 3 331 jeunes âgés de 15 à 19 ans sur leur vision du bonheur. Je n’ai rien entendu en France sur cette étude !
Vite, je regarde ce qui est dit 😉
Pour la génération Z belge, l’amitié, l’épanouissement personnel et la famille sont les critères principaux du bonheur et ils sont heureux !
Les jeunes Belges donnent une note de 6,7 sur 10 à leur sentiment de bonheur. La moyenne de tous les sondés est de 6,5. Les moins heureux sont les Britanniques (6,2) et les plus heureux sont les Néerlandais (6,8). Quel que soit le pays, les garçons sont plus heureux que les filles.
Pour 51% des adolescents belge, le bonheur est « la capacité à pouvoir apprécier autant de petits instants de bonheur que possible » et pour 33% d’entre eux, le bonheur est « un sentiment général de bien-être ».
Pour 45% de la génération Z belge, l’amitié est l’un des critères principaux du bonheur, suivi par l’épanouissement personnel (21 %) et la famille (20 %). À l’étranger, ce dernier facteur l’emporte sur le deuxième.
Selon 63 % du panel belge, le bonheur est un choix.
Qui aurait les résultats de l’enquête pour la France ?
L’arrivée de la génération Z dans l’entreprise : une adaptation nécessaire pour les managers
Cela fait toujours plaisir de voir un nouveau site concernant la génération Z apparaître en France. C’est le cas depuis le mois de février avec génération « Petite Poucette », expression de Michel Serre, son objectif : décrypter des comportements et modes de consommation de la génération Z. L’article L’arrivée de la génération Z dans l’entreprise : une adaptation nécessaire pour les managers en fait partie.
«Les Z ont la particularité d’exprimer leur individualité à travers le collectif. Ils s’inscrivent dans une logique transversale, marquée par la collaboration et la coopération.» sinon, une évocation de l’étude de la BNP…
Je reprends les grands points que l’auteur fournit pour les règles essentielles pour intégrer la génération Z dans l’entreprise (j’ai l’impression d’avoir lu déjà cela ailleurs mais je me trompe peut-être !)
- Autonomie
- Décloisonnement des organisations et des rapports hiérarchiques
- Défis à court terme
- Feed back réguliers
- Adaptation des rythmes de travail
- Transparence
- Contrer l’ennui et la routine
- Prise en compte la dimension plaisir
Des 15-25 ans expliquent leur obsession pour Snapchat et comment ils l’utilisent
Le journal du net tente de nous expliquer le succès de Snapchat auprès de la génération Z… génial… enfin, non des 15 – 25 ans… dommage…
Le titre m’attire quand même vous pensez bien étant utilisateur régulier de SnapChat entre autre avec mes filles 😉
Mais, je suis très déçu du résultat… une suite mise bout à bout de réactions de 2 douzaines de jeunes comme il est précisé dans l’article original 2 dozen millennials explain why they’re obsessed with Snapchat and how they use it !
La question que je me pose est à partir de quel âge SnapChat est utilisé ? On sait que 71 % des utilisateurs de SnapChat à moins de 25 ans… et combien à moins de 20 ? Autre remarque, on sait également que SnapChat est très féminin… environ 70 % des utilisateurs… Dans l’article, je ne connais pas la représentativité des uns et des autres… et l’interview de 24 personnes donne une orientation… toutefois cela reste un article de presse… pour indiquer une tendance qui penche aussi un peu vers la vision du journaliste 😉
Les jeunes bientôt au Panthéon ?
Comment très souvent les articles d’Influencia mérite que l’on s’y arrête… c’est encore le cas avec ces jeunes bientôt au Panthéon…
Les jeunes générations, via le numérique, ne suivent plus « un » rythme donné, mais imposent le « leur ».
C’est un retour expliqué sur la sélection de Time Magazine qui publie désormais le classement des « adolescents de moins de 20 ans les plus influents du monde ». 16 en 2013, 25 en 2014… Combien en 2015 ? Je m’étais fais l’écho des résultats de 2014.
C’est bien la reconnaissance par la société de l’influence grandissante des jeunes générations dans la transformation du monde qu’il s’agit.
Cette génération invente au quotidien ses propres codes d’expression via l’image.
dynamique de prescripteur/influenceur ; ils sont en permanence à l’affût de l’assentiment des autres ; valeurs traditionnelles et morales garantes de la stabilité de la société ; société de consommation, comme la culture du divertissement au sens large sont quelques mots clefs ou expressions issues de l’article… qu’il faut évidemment lire 🙂
L’OCDE s’inquiète de l’explosion du «binge drinking» chez les jeunes
Alors que les différentes études jusqu’ici indiquait que les jeunes consommait moins d’alcool (une étude européenne est en cours… au sujet de l’alcoolisme et les jeunes) l’OCDE remarque que si effectivement la consommation moyenne d’alcool est globalement en légère baisse mais que les pratiques d’alcoolisation excessive sont en augmentation chez les jeunes.
L’article de l’etudiant.lefigaro nous donne des détails. Mais première remarque, la notion de jeune n’est pas donné hormis pour une donnée : les 18-24 ans ! Plus génération Y que Z… mais ne chipotons pas !
Les beuveries express ou «binge drinking» : l’absorption rapide de grandes quantités d’alcool, de 5 à 8 verres d’alcool en une seule occasion comme une soirée ou une sortie, progressent chez les jeunes Occidentaux, notamment chez les femmes, dans de nombreux pays de l’OCDE.
Le rapport explique qu’une partie du phénomène de «binge drinking» tient au fait que les boissons alcoolisées sont devenues «plus abordables» à l’achat pour les jeunes consommateurs (je note que d’autres études expliquent par le même motif, le coût que la consommation d’alcool diminue !)
Et là, patatrac… les chiffres mis en avant concerne des progressions entre 1999 et 2008… L’évolution mesuré il y a 7 ans…
Cela n’empêche, la part des garçons qui, à 15 ans, n’ont jamais bu d’alcool est passée de 44% en 2001/02 à 30% en 2009/10. La proportion de ceux qui à 15 ans ont déjà été ivres au moins une fois, est passée de 30% à 43% sur la même période.
Au sujet de l’ivresse, on peut consulter Les inquiétants abus d’alcool des jeunes Françaises toujours sur le même support qui semble confirmer les informations de l’OCDE mais qu’est ce que l’ivresse et à partir de quand se sent-on ivre !
Difficile pour moi de prendre une position véritablement marquée pour tous ces résultats, hormis noter le phénomène du binge drinking…
Les enquêtes auxquelles je faisais référence en début de commentaires sont plus « jeunes »… et il me semble sage d’attendre sagement les résultats de l’enquête en cours au niveau de 6-7 états européens…
Nous saurons mieux où en est notre jeunesse concernant sa perception de l’alcoolisme… et son comportement dans le domaine ! On leur pose la question de savoir à partir de quelle consommation on est alcoolique, quelle quantité ils consomment au quotidien, en soirée…
Cependant, Faut-il interdire la télévision aux enfants ?
Le titre de cet article de madame.lefigaro m’a un peu surpris… Je me suis posé la question… est-il important d’interdire ou non la télévision aux enfants à notre époque. Généralement, on s’attend plus à trouver des articles du genre : faut-il ou non interdire les tablettes, smartphones, internet à nos enfants… Alors la télévision… pensez donc 😉
La raison de cet article : les enfants français passeraient en moyenne 2 h 12 par jour devant la télévision.
Donc, par curiosité, je lis cette interview de Patrice Huerre, pédopsychiatre et membre du comité expert de protection du jeune public du CSA.
Je résume… il ne faut pas interdire la télévision aux enfants (ceci est à mettre en parallèle avec ce que je lisais quand je sortais de l’adolescence 😉 mais je lis un discours que j’entends depuis des années : le rôle des parents est d’éduquer, de limiter l’accès aux écrans et d’apprendre comment bien regarder la télévision à leurs enfants ! La télévision reste un outil à utiliser de manière intelligente et limitée. Rien de nouveau de ce côté là et surtout, les parents savent-ils réellement comment bien regarder la télévision eux-même ?
Personnellement, je préférerai entendre des discours qui nous disent que la télévision doit évoluer, s’adapter au monde moderne et nous proposer (ou proposer aux enfants) de véritables programmes éducatifs… ils sont rares… trop rares ! On n’est pas que des cobayes et le petit journal semble faire exception… Il doit y avoir d’autres émissions… mais je ne regarde pas beaucoup ce média 😉
Par contre, j’ai un peu de mal lorsque je vois écrit : «Les maîtriser, c’est un véritable atout, car il s’agit d’un outil important.» C’était un outil important… ce ne l’est plus pour la majorité des personnes et notamment des grands Z ! Le média TV doit faire sa véritable mue pour redevenir important… sa mue sur Internet évidemment !
En bref
- Un résistant décoré grâce à l’entêtement d’un collégien de 16 ans Touché par l’histoire d’un résistant, un collégien du Gard a écrit pendant deux ans à l’Élysée pour qu’il soit décoré. C’est chose faite.
Le Comptoir de l’Innovation lance sa 2ème saison confirme l’engouement des jeunes pour l’entrepreneuriat.